Ali Hassanov: Les prétentions du quotidien «Financial Times» sont biaisées et servent aux intérêts odieux de certains milieux anti-azerbaïdjanais étrangers
Ali Hassanov, assistant du président de la République d'Azerbaïdjan pour les Affaires publiques et politiques, s’est exprimé sur une série de prétentions concernant l’Azerbaïdjan dans le quotidien «Fiancial Times».
Lors d’une interview à l’AZERTAC, Ali Hassanov a déclaré que les prétentions contre l’Azerbaïdjan dans un article intitulé «Le Conseil de l’Europe refuse-t-il les droits de l’homme?» paru dans le Financial Times étaient subjectives, biaisées et servaient aux intérêts odieux de certains milieux anti-azerbaïdjanais étrangers. Le fait que le Financial Times et d’autres publications bien connues prennent l’Azerbaïdjan pour cible et font des accusations sans fondement en rejoignant la campagne de dénigrement délibérément organisée par les milieux connus ne peuvent susciter que le regret.
L’assistant du président a noté que l’Azerbaïdjan était connu dans le monde entier comme un pays en développement, ayant une forte économie et une haute réputation internationale, où toutes les libertés sont assurées, comme un espace de stabilité, de sécurité et de tolérance. "La politique menée par le président de la République d’Azerbaïdjan, Ilham Aliyev, sert aux intérêts nationaux du peuple azerbaïdjanais et a obtenu le soutien complet du peuple. Les enquêtes menées par les instituts locaux et ceux des pays de l’Union européenne confirment ce fait une fois de plus.
Ce n’est pas par hasard que selon les résultats de l’enquête commandée par le programme du Partenariat oriental de l’Union européenne et réalisée par l’organisation néerlandaise ACT LLC, 81% des citoyens azerbaïdjanais ont fait confiance à la politique menée par le gouvernement. Certes, ce facteur préoccupe sévèrement l’Arménie et son lobbying, ainsi que leurs protecteurs à l’étranger. Ces milieux essaient, en utilisant tous les moyens possibles, de dénigrer la réputation de l’Azerbaïdjan, de former une opinion négative sur lui dans la communauté internationale. L’instrumentalisation des publications comme le Financial Times par ces milieux est un défaut sérieux et porte préjudice à l’indépendance des médias transnationaux.
A.Hassanov a fait savoir que l’inefficacité de ce genre de campagne organisée de temps en temps contre l’Azerbaïdjan avait déjà été prouvée et était acceptée avec moquerie dans son pays. Plus vite les organisateurs et les auteurs de ces actes de diffamation comprendront cette réalité, mieux ils pourront préserver leur étendue de réputation.